Turba Philosophorum

Études d'hermétisme


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Une religion immuable (Le Miroir d'Isis n°29)

Dernier texte paru : Anéantissement des âmes (Le Miroir d'Isis n°31, mars 2024)
Louis Cattiaux - Magicien persan   Index de revues :
 
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Présentation

Le présent site est consacré principalement à la mise en ligne d'un certain nombre de textes dont le thème central est l'hermétisme, et en particulier l'hermétisme musulman. Certains de ces articles ont été publiés il y a déjà un certain temps dans des revues à tirage plutôt confidentiel, et qui ont d'ailleurs à présent cessé de paraître. Peut-être quelques personnes trouveront-elles commode de les trouver ici rassemblés. D'autres textes sont plus récents; ils ont été publiés dans la revue - toujours existante - Le Miroir d'Isis.

Les articles les plus anciens ont paru dans la revue La Tourbe des Philosophes, revue d'études alchimiques. Les suivants ont paru dans la revue Le Fil d'Ariane. Nous les avons numérisés sans modification (à l'exception du deuxième, voir ci-dessous), si ce n'est que nous avons corrigé l'une ou l'autre erreur de frappe évidente.

Nous ajoutons un texte paru dans la revue V.L.T. sur un sujet quelque peu différent, celui des rapports entre tradition et science.

Les textes sont présentés ci-dessous dans l'ordre chronologique de leur parution. Il subsiste de légères différences de présentation et parfois de transcription d'un texte à l'autre; merci au lecteur de faire preuve d'indulgence.
 
Bien que ces textes soient mis ici à la disposition des chercheurs de bonne volonté, ils ne sont pas pour autant libres de droit. Si vous visitez ce site pour la première fois, merci d'avance de bien vouloir prendre connaissance des conditions d'utilisation.


Les Textes (au format pdf, par ordre chronologique)


A la fin du premier paragraphe de ce texte, nous affirmions, en suivant un peu trop rapidement Holmyard, que "le Gabritius du Rosaire n'est autre que kibrît, soufre, et sa soeur Beya est bayda', blanche". Dans un article intitulé A propos de la Turba Philosophorum paru dans le numéro 23 de la Tourbe des Philosophes (repris dans le recueil intitulé Le Fil de Pénélope, t.1, La Table d'Émeraude, p.317 et suiv.), M. Emmanuel d'Hooghvorst a indiqué la véritable étymologie de Beya :

" BEYA est un mot d’hébreu biblique. Il est composé de la lettre B, Beth où Beith, deuxième lettre de l’alphabet, et de IH vocalisé IA, les deux premières lettres du Nom divin IHVH. Le préfixe Beth signifie par, en, avec. Beya veut donc dire : par Ia, en Ia, avec Ia. Les alchymistes en ont fait un nom propre et nous comprendrons pourquoi Ia (IH) est souvent considéré par les traducteurs et les exégètes comme une simple abréviation du Nom divin IHVH, vulgairement YAVE. Mais son sens est plus précis, car selon la cabale, le Nom de Dieu a été coupé en deux par la transgression de nos premiers parents, et doit être réunifié pour refaire cette unité divine en laquelle consiste le Dieu d’Israël. De même l’Alchymiste, pour accomplir le Grand Œuvre doit-il réunir le ciel et la terre. Il n’est donc pas indifférent de trouver Ia au lieu de IHVH dans un verset de l’Ecriture ".

De fait, chez Ibn Umayl, par exemple, Beya est orthographiée bâ' - yâ' - alif.

On pourra trouver la citation ci-dessus et de plus amples développements sur le site portant justement le nom de Beya.
Cet article est sans doute celui dont nous sommes rétrospectivement le moins satisfait. Il se ressent particulièrement du contexte de l'époque. Il force sur les "jeux de mots", tout en supposant connues du lecteur certaines références obligées de la littérature alchimique du vingtième siècle. Afin de le rendre plus compréhensible, nous avons explicité certaines de ces références en ajoutant deux notes en bas de page (notes 10 et 12). Il était également nécessaire de modifier la note 1. Ce texte est le seul auquel nous avons apporté des modifications. L'alternative était de ne pas le numériser. Nous avons finalement décidé de l'inclure dans cette page pour la continuité. Le lecteur attentif ne manquera d'ailleurs pas de noter une évolution dans les textes présentés, en ce qui concerne tant le vocabulaire que les références.
    1. Le verset de la Lumière
    2. Mercure oriental et mercure occidental
    3. Aurum oriens
    4. Un hiéroglyphe du soleil




 

Compte-rendus et notes de lecture


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